Coups de cœur de l’équipe en Abitibi-Témiscamingue

Découvrez sans tarder quelques incontournables de l’Abitibi-Témiscamingue testés et approuvés par l’équipe!

Belvédère d’observation de Malartic | Crédit Photo : Tourisme Abitibi-Témiscamingue

Belvédère d’observation de Malartic

Pierre-Olivier Poulin, journaliste pour Le Citoyen

De loin, il est facile d’ignorer les paysages miniers qui façonnent l’Abitibi-Témiscamingue. Or, le belvédère d’observation de Malartic traduit bien l’importance et l’ampleur d’un site minier en zone urbaine. Situé tout près du centre-ville et du Musée minéralogique de l’Abitibi-Témiscamingue, l’accès est totalement gratuit et offre un panorama grandiose sur l’une des plus grandes mines à ciel ouvert au Canada, la Canadian Malartic. Après avoir gravi les nombreuses marches pour vous rendre jusqu’en haut de l’escalier, vous accèderez à une vue imprenable sur une véritable fourmilière humaine qui exécute les nombreuses tâches pour une production maximale d’or. Moi qui suis originaire d’une autre ville minière du Québec, j’affectionne ce site car il me fait presque sentir comme si j’étais à la maison.

Belvédère d’observation de Malartic | Crédit Photo : Tourisme Abitibi-Témiscamingue

 

Circuit d’interprétation des conduites forcées

Christine Morasse, rédactrice en chef pour Le Citoyen

Les conduites forcées de Témiscaming ont marqué le paysage urbain de la Ville et la mémoire collective des Témiscaminois pendant plusieurs décennies, que ce soit par leurs tailles imposantes ou par la segmentation de la Ville qu’elles créaient. Le circuit d’interprétation des conduites forcées de Témiscaming retrace l’histoire de ces anciennes conduites qui acheminaient depuis le barrage de Lumsden l’eau nécessaire au fonctionnement de la centrale hydroélectrique Kipawa sur le lac Témiscamingue. Il fournit une description de l’ensemble des vestiges archéologiques issus de l’industrie hydroélectrique. Il est impressionnant de pouvoir marcher à l’intérieur de ces immenses conduites via un sentier de 578 mètres et 208 marches à partir de la rue Promenade du lac.


Circuit d’interprétation des conduites forcées
de Témiscaming | Crédit Photo : Christine Morasse

 

Pagayer dans l’arrière-pays

Sandra Mathieu, rédactrice en chef de La Presse Touristique

Pour des explorations sur l’eau hors des sentiers battus, je craque pour l’’arrière-pays du parc national d’Opémican et ses escarpements rocheux! Que l’on opte pour le canot, le kayak ou la planche à pagaie, il fait bon faire une pause à l’île aux fraises dans le secteur Kipawa. Le site accespleinair.org est une super ressource pour organiser son itinéraire et éviter de se perdre dans ce plan d’eau qui est un réel labyrinthe. Leur outil Prêt à sortir permet de télécharger un tracé pour GPS et bien préparer l’expédition grâce aux listes d’équipement et aux conseils. Vous n’avez pas d’équipement? La Coop de l’Arrière-Pays à Ville-Marie propose la location et des activités guidées.

© SEPAQ | Parc national d’Opémican | Crédit Photo : Yan Kaczynski

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